Loin de moi l'envie de jouer la rabat-joie, mais derrière ce joli nom d'algues bleues se cachent en effet les cyanobactéries, des êtres vivants qui prolifèrent dans les eaux de la surface partout dans le monde, y compris chez nous. Elles prolifèrent à cause des nitrates et des phosphates que l'on doit aux épandages agricoles mais aussi aux rejets industriels et urbains.
Le problème, c'est que très souvent, ces cyanobactéries produisent ce qu'on appelle des cyanotoxines, très nocives pour l'homme et les animaux. Elles provoquent des irritations de la peau mais s'attaquent aussi au foie. C'est dangereux, et donc chez nous, une équipe de chercheurs de quatre universités (Liège, Namur, Gand et la VUB à Bruxelles) ont analysé différents plans d'eau dans les trois régions. Les résultats sont préoccupants.
Le problème, c'est que très souvent, ces cyanobactéries produisent ce qu'on appelle des cyanotoxines, très nocives pour l'homme et les animaux. Elles provoquent des irritations de la peau mais s'attaquent aussi au foie. C'est dangereux, et donc chez nous, une équipe de chercheurs de quatre universités (Liège, Namur, Gand et la VUB à Bruxelles) ont analysé différents plans d'eau dans les trois régions. Les résultats sont préoccupants.